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A population of nine male Walia ibex (Capra waalie) was studied in the Simien Mountains National Park, Ethiopia. Males spend half their time alone, but when in the company of other males they tend to associate with males of similar age to themselves. Males that associate together also tend to use the habitat in similar ways. Mean male group size varies over the year, mainly in response to the rut. The frequency of fighting varies likewise, but tends to peak about 2 months before the peak in sexual activity. Fights tend to occur among males of similar age, with the older male normally winning. The males could be ranked in a more or less linear hierarchy on the basis of wins and losses in agonistic encounters. Older males also tend to initiate progressions, suggesting that ibex male groups stayed together because of the behaviour of the younger males. A fairly distinct peak in sexual activity can be identified, but there is no discrete rut such as occurs in other caprids. Females normally range separately from the males lower down the cliff‐face, but come up to join the males during the rut. The frequency of association with females is negatively related to male age rank. It is argued that young and old males may differ in their mating strategies in that old males wait for females to join them, whereas young males tend to associate continuously with the female groups. Evidence is adduced in support of this hypothesis. Une population de neuf Ibex walia (Capra waalie) fut étudiée au Parc National de Simien Mountains, en Ethiopie. Les mǎles passent la moitié de leur temps solitaires, mais, lorsq'ils sont en compagnie d'autres mǎles, tendent à s'associer avec ceux de leur ǎge. Les mǎles qui séassocient ainsi ont tendance è utiliser leur habitat de la měme façon. La taille moyenne des groupes de mǎles varie au cours de l'année, principalement en fonction du rut. La fréquence des combats varie de la měme manière mais est maximale environ deux mois avant le sommet de l'activité sexuelle. Les combats opposent surtout des mǎles d'ǎge similaire, le plus ǎgéétant habituellement vainqueur. Les mǎles pourraient ětre rangés en une hiérarchie plus ou moins linéaire sur la base des victoires et défaites lors des rencontres antagonistes. Les mǎles plus ǎgés tendent aussi à prendre les initiatives, ce qui suggère que les ibex mǎles restent en groupe pour l'éducation des plus jeunes d'entre eux. Un sommet assez distinct de l'activité sexuelle est mis en évidence mais il néexiste pas de rut précis comme on en voit chez d'autres caprides. d'habitude, les femelles occupent une aire differente de celle des mǎles, plus bas sur les parois rocheuses mais viennent les rejoindre pendant le rut. La fréquence d'association avec les femelles est inversément proportionnelle au rang d'ǎge des mǎles. On suppose que les jeunes mǎles ont une stratégie différente de celle des plus vieux en ceci: les plus vieux attendent que les femelles les rejoignent alors que les plus jeunes tendent à séassocier continuellement aux groupes de femelles. l'evidence semble confirmer cette hypothése. Copyright © 1981, Wiley Blackwell. All rights reserved

Original publication

DOI

10.1111/j.1365-2028.1981.tb01063.x

Type

Journal article

Journal

African Journal of Ecology

Publication Date

01/01/1981

Volume

19

Pages

251 - 263